Les contre-indications sont les suivantes :
- Articulations douloureuses
- Toutes pathologies rachidiennes avec retentissement potentiel neurologique.
- Des séquelles de fractures du rachis ou tassement vertébral.
- Des pathologies articulaires avec risque de luxation (épaule)
- Toutes les cardiopathies et maladies coronariennes non équilibrées.
- L’hypertension artérielle HTA non traitée
- Les troubles du rythme paroxystiques
- Les accidents vasculaires cérébraux
- Les antécédents de pneumothorax spontanés.
- La prise de substances ou médicaments pouvant altérer le jugement ou diminuer les reflexes.
- L’épilepsie non équilibrée.
- Les syndromes psychiatriques non stabilisés.
- Diabète insulino-dépendant. « La pratique en salle peut être autorisée si le diabète est correctement équilibré. La pratique de l’alpinisme et de l’escalade en grande voie doit être évaluée en fonction de l’équilibre du diabète et de la capacité des accompagnants à prendre en charge une défaillance éventuelle. Les responsabilités d’encadrement sont contre-indiquées en cas de diabète insulino-dépendant, hormis l’encadrement en SAE », précise le médecin fédéral.